La température de la peau et la température corporelle sont des facteurs qui peuvent entraîner de la fatigue dans des conditions de chaleur élevée. La température de la peau est habituellement similaire à celle de l’environnement extérieur et a un effet direct sur la chaleur ressentie par l’athlète.
Un manque d’eau dans le corps empêche la transpiration, ce qui contribue à l’augmentation de la température du corps et, au bout du compte, réduit la capacité de l’athlète à poursuivre l’exercice.
La consommation de liquide avant et pendant l’activité physique aide le corps à maintenir sa température corporelle adéquate.
La génétique permet d’expliquer environ 50 % des résultats en matière de performance puisque d’’autres aspects de la régulation du gène ont une influence.
Il est difficile de prévoir les réactions d’une personne relativement à l’alimentation puisque les scientifiques doivent prendre en considération les particularités génétiques et digestives de chaque personne.
Un athlète qui s’entraîne dans un environnement où la chaleur est élevée transpirera davantage que s’il s’entraînait dans un lieu plus frais. Dans ces conditions, l’athlète doit boire davantage pour remplacer les liquides et les électrolytes perdus dans la transpiration.
Deux signes permettent de déceler une hydratation excessive chez un athlète : 1) l’athlète boit beaucoup d’eau sans toutefois produire d’urine et 2) l’athlète gagne du poids au cours d’une séance d’entraînement ou d’une compétition.
Si la température corporelle entraîne de la fatigue, la cause est probablement attribuable à l’environnement de la personne.
Les études ont démontré qu’une consommation modérée de caféine ne nuit pas à l’équilibre des liquides ni à la thermorégulation.
Les nitrates alimentaires contenus dans le jus de betteraves modifient l’économie de course et l’efficacité cyclique, et contribuent à améliorer la performance.
Andy Jones a découvert que le jus de betteraves est efficace pour accroître la tolérance à l’effort des personnes plus âgées et qu’il permet de réduire la pression sanguine.
Andy Jones discute de l’importance de l’oxyde nitrique dans divers processus physiologiques, y compris l’acheminement de l’oxygène vers les muscles et la production d’énergie oxydative.
Andy Jones explique que le jus de betteraves contient une grande quantité de nitrates organiques que le corps humain transforme en oxyde nitrique. L’oxyde nitrique contribue à acheminer le sang et l’oxygène aux tissus musculaires.
Andy Jones explique comment il a découvert que le jus de betteraves constitue une excellente source de nitrate.
Asker Jeukendrup explique que se rincer la bouche peut aider à améliorer la performance. La bouche est dotée de capteurs qui envoient un signal au cerveau et celui-ci transmet par la suite un message aux muscles.
Bien que la source de glucides n’ait aucune incidence sur la performance de l’athlète, il est important que les suppléments en glucides aient une faible teneur en gras, en protéines et en fibres.
La croyance voulant que le corps passe des glucides aux graisses comme source d’énergie est un mythe. Bien que les niveaux consommés varient, les athlètes brûlent simultanément des glucides et des graisses.
Les experts ont déterminé qu’une surcharge glucidique extrême n’est pas nécessaire. Les athlètes peuvent augmenter graduellement leur consommation en glucides, tout en réduisant leur charge d’entraînement en vue d’une course.
Nina Stachenfeld explique les situations où une hydratation excessive peut représenter un problème.
L’hyponatrémie n’est pas un état très répandu. Nina Stachenfeld discute des stratégies que peuvent appliquer les athlètes qui sont sujets à cet état pour prévenir l’hyponatrémie.